Skip to content Skip to right sidebar Skip to footer

Union Régionale Grand Est

Pacte de la vie au travail : les principales revendications figurant dans la contribution de la CFTC

Une trame de plan d’un « accord national interprofessionnel en faveur de l’anticipation et de l’accompagnement des transformations de l’emploi et du travail » a été transmise par la délégation de la CFTC, mercredi 13 mars 2024, dans le cadre de la négociation sur le « pacte de la vie au travail ». Outre l’ajout de la notion de travail dans l’intitulé du texte, la CFTC y développe son corpus revendicatif avant la 9e séance de négociation du 20 mars qui devrait être consacrée à l’examen d’un premier texte développé.

La CFTC a transmis, mercredi 13 mars 2024, sa proposition de trame dans le cadre de la négociation sur le « pacte de la vie au travail ». Les cinq organisations syndicales doivent envoyer leurs propositions aux organisations patronales qui proposeront un nouveau projet de texte en amont de la neuvième séance de négociation programmée mercredi 20 mars.

ANTICIPER ET ACCOMPAGNER LES PARCOURS

ANTICIPATION DES ÉVOLUTIONS DES EMPLOIS ET DES COMPÉTENCES

La CFTC propose que les branches réalisent « une cartographie des métiers à usure et à sortie précoce ». Dans ce cadre, il faudrait « cartographier les blocs de compétences nécessaires afin de répondre aux besoins des métiers en tension, identifier les métiers à durée de vie limitée, permettre aux salariés occupant les emplois concernés d’avoir une visibilité sur les compétences qu’il doit acquérir pour changer de métier ». « Les outils existants [PTP, VAE, plan de développement des compétences, etc.] doivent être conservés afin d’être mobilisés pour créer des passerelles », ajoute la confédération. « Chaque branche devra identifier […] les blocs de compétences de ces métiers en vue de déterminer des parcours de reconversion vers des métiers ayant les mêmes blocs de compétences. » Les cartographies en question seront mises à disposition des entreprises et des salariés « afin de préparer l’entretien de 2e partie de carrière ». De plus, « une fois l’identification des métiers à sorties précoces et / ou à usure professionnelle réalisée et reconnue, la branche déterminera des blocs de compétences communs à plusieurs branches, via des accords interbranches, et ainsi définir des passerelles entre les métiers ‘proches’ et qui ne souffrent pas des mêmes contraintes ».

Toujours au niveau des branches, outre l’introduction d’items sur l’emploi des seniors et l’usure professionnelle dans les négociations de GEPP, la CFTC préconise la création d’un « référentiel d’autodiagnostic permettant aux entreprises de préparer leurs négociations et aux TPE/PME de pouvoir mettre en place les actions de GEPP ».

Au niveau des entreprises, la confédération considère qu’il est nécessaire de « rendre obligatoire la négociation des accords GEPPMM dans les entreprises d’au moins 50 salariés au lieu de 300 actuellement » et que « pour les entreprises de 50 à 299 salariés, à défaut d’aboutir à un accord, [il faut] définir un plan d’actions emploi / compétences ».

Enfin, la CFTC plaide en faveur d’une GEPP territoriale, pilotée par les Crefop, « au bénéfice notamment des entreprises de moins de 50 salariés et pour répondre directement aux enjeux spécifiques du territoire [anticipation partagée des restructurations sur un bassin d’emploi, mise en place d’une politique de compétences propre à un territoire ou d’une zone géographique déterminée, …] ».

ACCOMPAGNEMENT DES PARCOURS

Outre le renforcement de l’information via le CEP, la CFTC précise sa position sur l’entretien de mi-carrière, en lien avec la visite médicale, qui viendrait en sus des entretiens actuels. Après une information auprès du salarié pour le sensibiliser « sur les enjeux du vieillissement au travail » et les multiples outils de la formation professionnelle, « cet entretien a vocation à préparer l’avenir et les éventuelles reconversions ou adaptations de postes nécessaires ». Une sanction serait applicable à l’encontre de l’entreprise si elle ne met pas en œuvre cet entretien. « Suite à la réalisation de ces entretiens, [il y aurait la] mise en place d’outils RH apportant des conditions de travail soutenables pour les salariés d’au moins 45 ans grâce notamment à un accès régulier — et adapté — à la formation professionnelle, à un plan d’actions ciblées et à un suivi régulier de ce public », précise l’organisation.

TRANSITIONS ET RECONVERSIONS PROFESSIONNELLES

En matière de transition professionnelle, la CFTC défend une forme de stabilité, appelant à « sécuriser les dispositifs […] individuels [PTP], collectifs [Transco] ou en alternance [Pro-A], car ils répondent à des besoins spécifiques en matière d’évolution et de sécurisation des parcours professionnels ». Au-delà, l’organisation plaide en faveur d’un renforcement de ces dispositifs via des moyens supplémentaires, un élargissement de l’éligibilité ou encore une simplification administrative. En réponse aux propositions patronales, la CFTC défend des éléments de sécurisation pour les salariés en parcours d’évolution professionnelle avec la suspension et non pas la rupture du contrat de travail, le maintien de la rémunération et des droits afférents au contrat de travail ou encore une hausse de salaire en cas de réussite de la formation.

En matière de pilotage, la CFTC préconise la création d’une « association générale paritaire de la formation et des transitions professionnelles » chargée d’optimiser les financements et la gestion des multiples dispositifs, de coordonner l’action des Opco ou encore de conseiller les entreprises.

PRÉVENTION DE L’USURE PROFESSIONNELLE

La CFTC propose de dissocier QVCT et égalité professionnelle dans les négociations obligatoires des entreprises, afin que l’ensemble des thèmes soient réellement abordés. Et de proposer d’ajouter trois items au sein de la négociation obligatoire : « la prévention des risques professionnels dont les risques psychosociaux », « la réduction de la pénibilité » et « les mesures en faveur de la prévention de la désinsertion professionnelle pour raisons de santé ».

« Pierre angulaire de toute démarche de prévention des risques professionnels », le DUERP est censée être obligatoire dès le premier salarié. « Afin d’assurer l’efficience de sa mise en place dans chaque entreprise, un renforcement des contrôles administratifs doit être réalisé et [il faut] assurer l’application des sanctions prévues par la loi », estime la CFTC qui demande que ces documents uniques soient obligatoirement versés sur une plateforme numérique qui permettrait aux Dreets et aux Carsat d’assurer le suivi.

SÉCURISER LES SALARIÉS SENIORS

PLACE DES REPRÉSENTANTS DU PERSONNEL

La confédération préconise l’installation de représentants de proximité dans chaque établissement permettant d’être un relais entre les salariés et le CSE notamment sur la situation des salariés seniors, la mise en place d’une CSST dès lors qu’un CSE est mis en place dans l’entreprise et plus largement dans toutes les entreprises de plus de 50 salariés et la suppression de la règle des trois mandats successifs maximum pour les représentants du personnel. Ce dernier point permettra « aux titulaires d’un mandat syndical ou de représentation du personnel ayant acquis des compétences et une expertise de pouvoir continuer à être au service des salariés. »

MAINTIEN DANS L’EMPLOI

La CFTC rejette les dispositions visant à lever les freins à l’embauche des seniors, via des incitations telles que le CDI seniors envisagé par les organisations patronales. La confédération préfère évoquer des aménagements de fin de carrière, propices au maintien dans l’emploi. des seniors.

En premier lieu, la CFTC défend la création d’un droit à un temps partiel de fin de carrière à la demande des salariés avec un « principe de réversibilité », une compensation de la rémunération et « le maintien des cotisations de retraite, de complémentaire santé et de prévoyance sur une assiette à temps plein ».

En matière de retraite progressive, la CFTC revendique une réduction du délai de réflexion des employeurs passant de deux à un mois et un encadrement du motif de refus par l’employeur. Enfin, compte tenu des évolutions récentes, le dispositif de cumul emploi-retraite devrait se stabiliser.

CETU

Sans surprise, très attachée au Cetu, la CFTC fait fi de la fin de non-recevoir adressée par le Medef et la CPME et expose son modèle. En résumé, « il y a un enjeu égalitariste à l’ouvrir à l’ensemble des salariés, particulièrement ceux des TPE-PME qui bénéficient très peu du CET et à tous les statuts, via le dispositif du CET Universel », estime la confédération. Fondé sur la base du volontariat du salarié, le Cetu serait opposable et portable. « Alimenté en jours principalement mais aussi moyennant une conversion de sommes issues par exemple de l’épargne salariale », le Cetu serait mutualisé au sein d’un « fonds géré paritairement ».

DOCUMENTS

Expression directe : « À quoi ça sert de voter aux élections TPE ? »

Bonjour à tous et bienvenue sur notre chaîne ! Aujourd’hui, nous allons aborder un sujet essentiel pour notre démocratie : les élections TPE. Vous vous demandez peut-être pourquoi il est si important de voter lors de ces élections ? Dans cette vidéo, nous allons explorer les raisons pour lesquelles votre voix compte et comment votre participation peut avoir un impact significatif sur votre vie professionnelle. Nous allons également vous présenter les différents enjeux liés aux élections TPE et les conséquences de votre choix. Que vous soyez salarié ou employeur, il est crucial de comprendre l’importance de votre vote et comment il peut contribuer à façonner l’avenir des travailleurs. Alors, préparez-vous à découvrir pourquoi il est essentiel de s’impliquer dans les élections TPE. Sans plus attendre, voici notre vidéo : ‘Expression directe : À quoi ça sert de voter aux élections TPE ?’. Bon visionnage ! »

Le reste à charge pour la mobilisation du CPF

La proposition d’introduire un ticket modérateur de 100 € sur les formations du Compte Personnel de Formation (CPF) à compter du 1er mai 2024 a été mise en lumière récemment. Malgré un soutien présumé de l’Élysée, le sort définitif de cette mesure reste en suspens, soumis à l’issue des consultations prévues avec les partenaires sociaux en avril. Au-delà du simple montant du ticket modérateur, des interrogations émergent également concernant les exonérations, notamment pour les utilisateurs du C2P. L’article souligne que cette démarche s’inscrit dans une perspective budgétaire, avec l’objectif déclaré de générer des économies substantielles sur le CPF, estimées à environ 200 M€ dès l’année 2024.

En dépit des avancées possibles dans cette transformation du CPF, des détails importants demeurent à clarifier, notamment en ce qui concerne les modalités d’application, les exonérations spécifiques, et les implications sur les dispositifs de formation déjà existants.

Une situation à suivre de près pour les parties prenantes du monde de la formation professionnelle et pour ceux qui sont concernés par ces changements potentiels. Alors n’hésitez pas à suivre cette information de près !

En réponse à une question au Sénat, Catherine Vautrin a justifié la mise en place du ticket modérateur sur le CPF par le besoin de responsabiliser les utilisateurs pour faire diminuer les abandons en cours de formation. Capture d’écran site du Sénat Retrouver la vidéo qui résume le sujet.

« 11 % des personnes qui entament une formation [financées par le CPF] l’abandonnent. C’est du temps et de l’argent perdu. La question se pose de savoir si une participation ne permettrait pas de les responsabiliser. Tel est le sens du ticket modérateur qui a été instauré dans le projet de loi de financement de la Sécurité sociale », indique la ministre du Travail, de la Santé et des Solidarités, Catherine Vautrin, lors de la séance des questions au gouvernement du 13 mars 2024 au Sénat. Elle était interrogée par la sénatrice CRCE de Meurthe-et-Moselle, Silvana Silvani « sur les conséquences des mesures d’austérité imposées à l’emploi et à la formation professionnelle » à la suite des annonces de Bercy concernant les 200 M€ d’économies recherchées sur le CPF. Les modalités de mise en œuvre de ce ticket modérateur doivent être concertées avec les partenaires sociaux courant avril.

Source AEP

La preuve déloyale, une composante judiciaire valable ou pas?

Le cadre d’utilisation d’une preuve déloyale peut varier en fonction du pays et du système juridique. Cependant, voici quelques principes généraux concernant l’utilisation de preuves déloyales :

1.⁠ ⁠Illégalité de la collecte : Si une preuve a été obtenue de manière illégale, par exemple en violant la vie privée d’une personne, elle peut être considérée comme déloyale et inadmissible devant les tribunaux.

2.⁠ ⁠Violation du secret professionnel : Si une preuve a été obtenue en violant le secret professionnel d’une personne, elle peut également être considérée comme déloyale et inadmissible.

3.⁠ ⁠Fraude ou manipulation : Si une preuve a été falsifiée, modifiée ou manipulée de manière à présenter une fausse image de la réalité, elle peut être considérée comme déloyale et inadmissible.

4.⁠ ⁠Confidentialité des communications : Dans certains pays, les communications privées, telles que les conversations téléphoniques ou les e-mails, sont protégées par la loi et leur utilisation comme preuve peut être considérée comme déloyale sans le consentement des parties concernées.

Il est important de consulter les lois et réglementations spécifiques de votre pays pour obtenir des informations précises sur l’utilisation des preuves déloyales dans votre juridiction.

En ce qui concerne les dernières jurisprudences concernant l’utilisation de preuves déloyales: Le 17 janvier 2024, la Chambre sociale de la Cour de cassation statue pour la première fois sur la possibilité d’utiliser en justice une preuve déloyale depuis la décision prise par la Cour de Cassation fin 2023. En l’espèce, le médecin du travail et l’inspecteur du travail avaient été associés à l’enquête menée par les représentants du personnel et le salarié produisait d’autres éléments de preuve laissant supposer l’existence d’un harcèlement moral. Compte tenu des autres éléments fournis, il a été jugé que la production de cet enregistrement clandestin n’était pas indispensable. Ainsi, cet enregistrement n’a pu être produit.

La proposition CFTC pour un outil amélioré

Annoncée comme une priorité du premier quinquennat d’Emmanuel Macron, l’égalité femmes/hommes est encore bien loin d’être atteinte, notamment en entreprise. La secrétaire confédérale en charge de l’égalité femmes-hommes Aurélie Chasseboeuf travaille précisément à la réduction de ces disparités. Son dossier prioritaire : la réforme de l’index de l’égalité professionnelle, qui vise à mesurer les écarts de rémunération entre les sexes et à réduire les inégalités de genre. Ce sont les nombreuses évolutions que la CFTC souhaite greffer à cet indicateur, qu’elle expose et décrypte ici.

Référence Site Cftc.fr

Un jour – une femme: Quel est votre point de vue sur l’état actuel des droits de la femme?

Dans la continuité de notre sujet de la semaine, un jour, une femme, nous allons aborder la question toujours d’actualité des droits des femmes et de l’égalité entre les femmes et les hommes. Plus de 50 ans après les grandes avancées des années 1960-1970, force est de constater que malgré des progrès indéniables, l’égalité complète ne reste qu’un objectif à atteindre.

En effet, de nombreuses inégalités perdurent dans des domaines clés comme l’accès aux responsabilités dans le monde professionnel, la représentation des femmes en politique ou encore la rémunération salariale. De même, certains stéréotypes ont la vie dure et la considération accordée aux femmes, quel que soit leur statut, doit encore progresser.

Au cours de cette vidéo, nous allons passer en revue différents exemples concrets illustrant les progrès qui restent à accomplir pour parvenir à une société véritablement paritaire. Nous verrons également selon quels axes il convient de continuer le combat pour les droits des femmes. L’objectif sera de dresser un état des lieux le plus juste et objectif possible, afin de mieux cerner les défis actuels de l’égalité femme-homme.

J’espère que cette analyse vous permettra d’enrichir votre réflexion sur ces enjeux majeurs pour notre société. Je vous souhaite une bonne écoute.

Un jour – Une Femme: Coline et Noémie, chargées de communication

Découvrez la vidéo captivante du duo dynamique, Coline et Noémie, deux chargées de communication passionnées. Dans cette vidéo, elles explorent avec audace la notion des stéréotypes dans le monde du sport et de la vie professionnelle en général. Préparez-vous à être inspiré(e) par leur analyse pertinente et leurs idées novatrices. Plongez dans ce voyage captivant où elles défient les préjugés et encouragent la diversité. Ne manquez pas cette vidéo qui vous fera réfléchir et remettre en question les normes établies.

Un jour – Une femme: Sandra WENDLING Aide Soignante

Découvrez la vidéo inspirante de Sandra Wendling, une aide-soignante passionnée, qui met en lumière les discriminations subies par les femmes dans le domaine de la santé. À travers son témoignage poignant, Sandra souligne l’importance de reconnaître et de combattre ces injustices pour promouvoir l’égalité des chances. Regardez dès maintenant cette vidéo captivante et rejoignez le mouvement pour l’égalité.

Un jour une femme, Irène WEISS, Conseillère Régionale Grand Est

Découvrez la vidéo « Un jour, une femme » mettant en avant Irène Weiss, conseillère régionale du Grand Est. Dans cette vidéo captivante, Irène partage son parcours professionnel, ses réalisations et son engagement en faveur de la région. Elle nous inspire par sa détermination, sa passion et sa volonté de faire une différence dans la vie des habitants du Grand Est. À travers son témoignage, nous découvrons les défis qu’elle a dû surmonter, les succès qu’elle a remportés et les projets qu’elle mène pour améliorer la vie des citoyens. Ne manquez pas cette occasion de découvrir le parcours inspirant d’Irène Weiss et de vous laisser inspirer par son histoire de réussite et d’engagement.

1 jour 1 femme

La semaine de la femme menée par la CFTC Grand Est dans les locaux de l’Union Départementale du Bas Rhin est un événement emblématique qui vise à célébrer les réalisations et les contributions des femmes dans le monde du travail. Cet événement annuel offre une plateforme pour discuter des enjeux et des défis auxquels les femmes sont confrontées sur le lieu de travail, tout en mettant en avant les réussites et les progrès réalisés.

La CFTC Grand Est a mis en place une semaine riche en activités et en initiatives visant à promouvoir l’égalité professionnelle entre les hommes et les femmes. Des ateliers, des conférences et des débats sont organisés pour sensibiliser les participants aux problématiques spécifiques auxquelles les femmes sont confrontées dans le monde professionnel.

Au cours de cette semaine, des femmes inspirantes issues de différents secteurs d’activité sont invitées à partager leurs expériences et leurs parcours professionnels. Ces témoignages permettent de mettre en lumière les réussites des femmes et de montrer qu’elles ont leur place dans tous les domaines d’activité.

L’événement met également en avant les initiatives et les bonnes pratiques mises en place par les entreprises et les organisations pour favoriser l’égalité professionnelle. Des exemples concrets de mesures visant à promouvoir la mixité et à lutter contre les discriminations sont présentés, offrant ainsi des pistes d’actions pour les participants.

Enfin, cette semaine dédiée contribue à renforcer la solidarité entre les femmes et à encourager les échanges et les réseaux professionnels. C’est l’occasion pour les participantes de se connecter, de partager leurs expériences et de s’entraider mutuellement, créant ainsi une véritable communauté engagée dans la promotion de l’égalité professionnelle.

En résumé, cet événement essentiel pour promouvoir l’égalité professionnelle et mettre en avant les réussites des femmes ‘est une occasion unique de sensibiliser, d’inspirer et de renforcer la solidarité entre les femmes, contribuant ainsi à un monde du travail plus équitable et inclusif.

Retrouver l’article de notre militante engagée au niveau national, Aurélie Chasseboeuf.